Voir le nombre de demandeurs d'emploi, quinze mille selon les statitiques données par les organisateurs faire la queue pendant des heures pour y seulement accéder et se donner une bonne conscience dans la recherche d'emploi. Visiblement, les gens ont envie de travailler ou du moins de bouger. Mais dans un contexte d'un marché du travail où et le système politique ou plutôt les éternelles manoeuvres politiques de déstabilisation de la vie sociale, et un marché du travail bondé d'activités de commerce, tout ceci nous invite à reflechir sur notre capacité à offrir, à créer et à anticiper les demandes. Quinze mille demandeurs d'emploi pour sept cent postes à pourvoir. Tout cela signifie qu'il faudrait dissocier actions politiques et soif de pouvoir. Quinze mille demandeurs d'emploi pour sept cent postes à pourvoir. Les gens voudraient bien agir et s'assurer que demain ils feront encore partie des "vivants". Quel avenir pour les dizaine de milliers de candidats non-retenus. Ceci sans parler des lacunes et incapacité des demandeurs d'emploi à répondre aux attentes des entreprises ceci pour cause de niveau d'instruction jugé trop bas ou manque d'expérience.
"Aleo maty rahapitso toy izay maty anio".
Je dirais tout simplement ceci : " il n'y pas de développement sans industrie." Une économie nationale prospère ne peut se contenter d'arborer la réussité commerciale de quelques entreprises classées dans les catalogues de "success story"
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