samedi 12 septembre 2009

Quand le peuple d'en bas fut oublié!

VOILA CE QUI NOUS ARRIVE!

Le mythe du nationalisme économique. De l'utopie!

Economie nationaliste et village planétaire: Plus d'isolement!

Le mercenariat politique est devenu un métier.

Les régimes de transition : Facteur de recession économique.

vendredi 11 septembre 2009

MAI 1972 : Et si c'était une erreur!

MAPUTO I, échec unilatéral de MAPUTO II. Et l'on me rappelle qu'il y avait eu DAKAR I puis l'accord de DAKAR II mais celui-cit tombé dans l'effacement volontaire pr une bataille électorale unilatérale en un seul tour!

L'histoire malgache, la notre ou je dirais celle que les autres ont pris la peine ou le soin d'écrire, a été faite de faux calculs et de stratégies à la mayonnaise. La politique a perdu toute sa vertu. Je veux bien parler de ce sujet brûlant car c'est de lui que notre histoire s'identifie. Analyser l'histoire politique d'un pays reduit à la pauvreté comme un paramètre de notre "identité" actuelle. Cette année, c'est la première fois que j'ai appréhendé qu'effectivement la presse constitue un paramètre décisif dans une lutte de pouvoirs. Ici et là l'on parle d'éthique, d'intégrité, d'altruisme et de patriotisme etc... pourtant les faits ne démentent-ils pas ces valeurs ce depuis l'avènement de MAI 72.

Et puis il y a eu l'échec d'un mouvement d'opposition de première heure de 1982 avec Monja JAONA. La victoire des Forces Vives en 1991. Puis 2002 pour aboutir à une " fausse" révolution sur fond de mutinerie de l'an 2009. En cinquante ans d'indépendance il y a eu des régimes de transitions, des vrais leaders et de mauvais dirigeants. Des années plus tard, il y a encore des leaders sortis des laboratoires à la manière star 'ac. Ils sont brillants de leurs secteurs et deviennent des leaders à coup de matraquage. Mais c'était des pions. Des simples pions.

L'on attend Mr Olala dire avec fierté : nous avons révolutionner la façon malgache de faire la politique. Ceci n'est peut-être pas faux si l'on fait une micro-analyse des évènements 72. Mais quand on regarde avec léger détachement et tous les évènements politiques qui s'en suivaient et leurs conséquences tant au niveau de notre économie nationale qu'au niveau du social sans parler des séquelles ontologiques l'on ne peut ne pas formuler des doutes sur la pertinence de nos luttes politiques de 1960 jusqu'à ce jour.

Economie en otage, éducation politique de bonne foi pour les incultes, une machination machiéavélique de luttes de pouvoir, corruption et surtout de mauvais conseillers et stratèges. Résultats les positions se radicalisent. Celui-qui-est-au pouvoir fait tout pour conserver les acquis ; celui d'en face ira jusqu'à jouer au cache-cache.

L'on ne perd pas espoir!